Honni soit qui mal y pense

1 septembre 2008

Comme le titre du blog l’indique, nous sommes encore à 16 mois de la date prévue du mariage, il nous reste beaaaaaaaucoup de temps pour le préparer. En fait, nous n’avons encore annoncé notre intention de nous marier qu’à très peu de personnes. Mon amie Julie en fait partie et, comme elle est loin, nous communiquons actuellement par e-mail et chat, essentiellement (snif ! tu me manques !)

Il y a quelques jours, nous avons tenu à peu près ce langage :

Moi : On a commencé à parler de l’organisation du mariage.

Julie : Cool ! Mais vous ferez quelque chose de pas trop cucul, quand même ?

Moi : Bah évidemment ! Pour qui tu nous prends !

Julie : Alors, quelle sera la part de traditions, et de traditions à la con ?

Moi : Bah, des traditions, un peu quand même. La messe, la robe blanche, tout ça… Les traditions à la con, franchement non. Le DJ qui passe la danse des canards et la macarena, très peu pour moi ! Sans compter les « jeux »… et les dragées…

Julie : Rassure-moi, tu mets la jarretière dans les traditions à la con ?

Moi : Oui ! (in petto) je sais que c’est un truc beauf qui consiste à exhiber sa cellulite ses cuisses, mais ça consiste en quoi exactement… ?

Wikipedia est notre ami. La jarretière y est définie comme « une pièce de vêtement masculin [???] ou féminin servant à maintenir et tendre les bas. » Je continue ma lecture, et là… c’est le drame !

L’idée, c’est que les invités masculins sont censés voler la jarretière de la mariée au cours de la fête ; tiens, une réminiscence de la cour de récré où je me faisais courser par des gamins avides de tirer mes nattes ! Ou, pire, la jarretière est mise aux enchères — qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour augmenter son pouvoir d’achat — et le gagnant de l’enchère va la chercher avec ses dents !

Quelle horreur ! Bon, pour être honnête, je ne vois pas vraiment mes amis se prêter à ce genre de jeu, je crois que je risque moins de prendre un coup de dent que de plomber l’ambiance…